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Marine Rivoire, Aoste // arts sonores (voir site)

Plasticienne, elle mène une réflexion et un travail de création interrogeant la singularité du rapport que chacun entretient avec son environnement. Il concerne tout particulièrement l’approche perceptive. celle qui fait appel aux sens. Il est question de ce lien subtile qui ancre l’homme dans son milieu de vie, le relie à ce qui constitue et anime son environnement.
Les pratiques et usages de l’espace public, l’écologie sonore, la création sonore, l’homme et l’animal sont des domaines qu’elle questionne sous la forme de Compositions sonores, performances, installations.
Dès le début de son cursus à l’école d’art de Grenoble, elle s’est tournée vers des projets où la question de la rencontre est au cœur du processus de création. Cela l’a amenée à collaborer avec le Laboratoire de conservation des espèces et le service vétérinaire du Parc zoologique de Paris, d’être artiste associée au projet « Ici e(s)t ailleurs » mis en œuvre par le collectif Ici-Même, de participer à l’élaboration des projets associatifs du Centre du son, et du Radio Musée Galletti.
Un état, une culture : elle mène une démarche intégrant la problématique que soulève la déficience visuelle avec laquelle elle vit : qu’est-ce que être au monde ? Cet état l’amène à avoir un rapport au monde singulier, riche d’expériences et source de réflexion. C’est une culture, une matière qu’elle sculpte et met en forme où la rencontre et l’échange sont intrinsèques à son travail de création.

Marine

Les membres du collectif

J. Pierre Dupraz_20190426_016 (1920x1280

Virginie Valissant-Brylinski, Saint-Pierre d’Entremont // son et image (voir site)

D’abord ingénieur du son pour le cinéma, elle s’est rapidement dirigée vers un cinéma
« de l’autre », plus engagé, le documentaire de création, dans lequel elle évolue depuis 20 ans. En parallèle, depuis une dizaine d’années, elle s’est engagée dans une volonté de replacer le sonore à sa juste place, reléguée par nos sociétés au second plan, après l’image. Son projet d’écologie sonore, « Ecoutez le Silence » a démarré en Chartreuse où la grande richesse du paysage sonore est devenu rare, et indispensable aux moines. Avec le collectif des Lucioles et autres lueurs, elle élargit encore le champ des sensibilités et des approches sensibles et artistiques, au son et à l’image. Par ailleurs, elle propose et anime des ateliers de sensibilisation à l’écoute pour le jeune public et enseigne la pratique du son au cinéma à l’Université Lyon 2.

Virginie

Claudine Polaud, Romagnieu // danse

Danseuse interprète formée en danse théâtre en Allemagne puis en France à la technique Nikolaïs, elle découvre le travail de Josef Nadj, Karin Waehner, Jackie Taffanel. Interprète au sein de différentes compagnies, elle créé des spectacles tout public et jeune public mêlant différentes formes artistiques, en collaboration avec des circassiens, musiciens et comédiens.
Elle s’initie à la danse contact et à la composition instantanée auprès de Claire Filmon, Anne Garrigues, Lulla Chourlin. Elle participe à de nombreuses performances mêlant musique et danse, dans ou hors les murs, parfois en lien avec des installations plastiques.
Pédagogue diplômée d’état, elle enseigne pour le public amateur et anime des ateliers artistiques en milieu scolaire (petite enfance, écoles, collèges). Elle est également chargée de cours à l’Université de Savoie (licence hypermédia/communication).

Claudine

Rémi François, La Bridoire // musique 


Guitariste autodidacte, il développe sa pratique lors de nombreuse scènes ouvertes, jam session et autres soirées d’improvisation. Afin d’explorer davantage la possibilité électrique de son instrument, il suit une formation de technicien maintenance image son.
Au fil des rencontres, des projets musicaux se forment : Brandy Barley Sugar Band // groupe blues rock et Jesus On∫The Moon // musique lunaire et poétique.
Intéressé par l’improvisation et la rencontre des pratiques artistiques, il s’est engagé depuis plusieurs années au sein du collectif Lucioles et autres lueurs. Il fait également partie du projet de l’association l’Alternateur, recyclerie des arts et du spectacle aux Echelles.

Rémi

Flavie Laporte // photographie

Initialement formée dans le développement de projets culturels, elle s'intéresse tout particulièrement aux enjeux liés aux territoires et aux populations qui se trouvent hors des circuits traditionnels de diffusion culturelle. Depuis 2014, elle s'est engagée auprès d'associations et de collectifs qui favorisent les rencontres et le partage autour de formes artistiques contemporaines.

Depuis 2018, Flavie s'en est allée, vers d'autres projets. Mais elle revient quand même nous filer la main ! 

Flavie
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